Bulletin n°24 décembre 2021
Parution du Petit Vingt et Unième n°24 décembre 2021
C'est dans une période encore compliquée due à la Covid 21 que notre bulletion le "Petit Vingt et Unième n°24" de décembre 2021 a pu paraitre avec certes un peu de retard...
Mais consolez-vous avec non pas 32 mais 36 pages de saine lecture pour ce numéro un peu exceptionnel !
Pour info ou rappel, en voici son éditorial :
Voilà, enfin, nous y sommes ! Oui nous sommes enfin parvenus à aboutir notre bulletin de l’année 2021.
Et la faute à qui ? A la Covid diront certains. Effectivement, on peut s’abriter derrière la crise pandémique mais ce sont aussi ses multiples effets collatéraux sur nos vies personnelles, familiales, associatives et aussi professionnelles qui ont ralenti et fortement perturbé la réalisation de notre tant attendu bulletin sans oublier que, pour certains, c’est leur santé qui en a été violemment affectée. Alors là, on se met en pause, on met toute la priorité à se soigner, guérir, et Tonnerre de l’Est saura se montrer compréhensif.
Alors oui, le petit Vingt et Unième (‘PVU’ pour les intimes) n’y a pas échappé. Exit la belle intention d’un Hors-Série estival 2021 et focus pour un bulletin de fin d’année qui « ait de la gueule ». Mais là encore, de l’intention à l’œuvre aboutie, la période écoulée n’a pas été un long fleuve tranquille.
Bref, si vous lisez ces lignes, c’est que nous y sommes enfin disais-je en entrée de conversation. Et c’est un numéro un peu exceptionnel que nous avons voulu vous offrir en ce jour. Exceptionnel par son volume de pages plus important qu’à l’habituel (à condition de ne pas publier du vide sidéral) mais exceptionnel aussi par la nature de son contenu avec un thème « fil rouge » – voire un fil à damier rouge et blanc vu sous un certain angle - qui rassemble histoire, devoir de mémoire, Tintin, Tournesol et aventures spatiales. Gageons que ce nouvel exercice et cette nouvelle expérience littéraires sauront en susciter bien d’autres et du même acabit pour nos prochaines productions associatives.
Alors c’est une invitation au voyage et à notre mémoire collective, souvent douloureuse, que je vous invite à découvrir ici pour ce qui concerne le cœur de ce numéro dont une certaine fusée à damier est loin d’être innocente. Mais d’autres écrits vous inviteront aussi à l’évasion, tantôt citadine en cheminant depuis Paris jusqu’à Rome (mais quels chemins n’y mènent pas, dites-moi !?), ou en bravant les flots sur l’océan atlantique, tantôt au large des côtes africaines ou tantôt pour y rejoindre les Caraïbes ou l’Amérique du sud en quête de fétiches aux multiples formes.
Les auteurs, et qu’ils en soient grandement remerciés car le PVU, ce PVU, ne serait pas ce qu’il est sans leur investissement constant, leur réactivité, leur coup d’œil ou coup de plume, ainsi que l’équipe rédactionnelle qui n’aura de cesse de toujours m’impressionner par le fruit de son travail, de surcroît face à l’adversité d’une période où la santé de certains a été fortement mise à mal, ont fait de leur mieux pour rendre ces pages plus qu’intéressantes sinon, du moins, savoureuses, face à votre soif intellectuelle toujours inextinguible. Bonne lecture chers amis !
Oooh, mille millions de mille excuses !!! J’oubliais…
Meilleurs Vœux et Bonne Année 2022 à toutes et tous !
Eric, le président
Bien amicalement.
Eric, le président.
Date de dernière mise à jour : 10/08/2022
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